à
la vue des pilots réalisés sur le terrain, vous comprendrez
pourquoi il était difficile de déterminer le terrain d'envol. Il
n'y a que peu de manœuvrabilité et surtout beaucoup de vitesse.
Aux
premiers ballons en l'air on remarque rapidement que les choix sont
toutefois très étalés en se rendant vite compte que les solutions
extrêmes sont perdues d'avance.
Nos
pilotes ont, à mon avis, très bien choisi leur terrain mais les
conditions sur la cible sont difficiles à appréhender et les 4
passeront trop à droite de la cible (comme beaucoup de ballons ceci
dit), même si Laure est celle qui s'en est le mieux sorti.
Nous
allons devoir reparler ce soir, au retour, de l'interprétation des
observations au sol, de leur précision, des règles d'inertie d'un
ballon de 2000m3 à 35km/h et à 4m/s en descente, et surtout de se
rappeler que le ballon se pilote aussi avec le feeling et pas
seulement aux chiffres des écrans.
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